Mardi dernier lors du Forum du quotidien El Moudjahid, Meriem CHERFI, Déléguée nationale à la protection de l'enfance a annoncé la création d'une cellule de veille dédiée à la protection des enfants contre la cybercriminalité en Algérie.
La Brigade Centrale de Lutte Contre la Cybercriminalité (BCLCC) a marqué 02 avril 2024 un grand coup dans la lutte incessante contre les cyberdélinquants en mettant fin aux agissements d'un duo de présumés criminels.
La Société Mauritanienne de Télécommunications, le principal fournisseur de services de télécommunications du pays, a été samedi 16 mars 2024 la cible principale d’une cyberattaque.
Une fraude sournoise ciblant les amateurs d'épices bio refait surface au Burkina Faso, avertit la Brigade de Lutte Contre la Cybercriminalité (BCLCC). L’information a été diffusée vendredi 15 mars 2024 sur la page Facebook de la Brigade.
La Plateforme de lutte contre la cybercriminalité (PLCC) a dévoilé samedi 09 mars 2024 une affaire qui soulève des préoccupations quant à la sécurité des personnes en ligne et met en lumière les risques associés aux relations virtuelles.
La Cour d’Alger a organisé lundi 04 mars 2024 à Alger, une journée d’étude axée sur le thème crucial de "la cybercriminalité et les preuves électroniques". Cette journée d'étude a mis en lumière l'urgence d'une collaboration internationale renforcée pour lutter efficacement contre la cybercriminalité dans le pays.
Démantelé par les efforts conjoints du FBI, du NCA, et d'Europol le 20 février dernier, il a fallu cinq jours seulement pour LockBit, un réseau de ransomware notoire, pour refaire surface.
Wave digital finance et la Police judiciaire sénégalaise ont annoncé leur union mercredi 14 février 2024 lors de la cérémonie d'ouverture d'un atelier afin de lutter contre le blanchiment de capitaux, le financement du terrorisme et d'autres activités illicites.
Dans une nouvelle opération mardi 06 février 2024, la Brigade de Lutte Contre la Cybercriminalité (BCLCC) a réussi à mettre aux arrêts trois individus de nationalité étrangère et résidant à Ouagadougou. Ces présumés cyber escrocs, âgés de 22 à 32 ans, sont accusés d'avoir orchestré des escroqueries en ligne sophistiquées à travers des faux profils Facebook.
Une récente enquête menée par le service Digital Footprint Intelligence de Kaspersky a mis en évidence une préoccupation croissante quant à l'exploitation de ChatGPT et d'autres modèles de langage sur le dark web à des fins illégales. Les chercheurs ont découvert près de 3 000 messages échangés, détaillant divers scénarios allant de la création de clones malveillants de ChatGPT au jailbreaking de sa version originale.